Image d'illustration de l'article de blog du site Pickaform qui a pour titre : "Comment faire un schéma de processus : votre guide 2024." Cette illustration montre des professionnels collaborant sur un schéma de processus dans un environnement moderne.

Créer un schéma de processus clair peut sembler intimidant, surtout avec les nombreuses options et les outils disponibles. 

Mais imaginez un instant que vous puissiez visualiser chaque étape de votre flux de travail, de la première tâche jusqu’à la dernière décision. 

En effet, un schéma bien conçu aide à : 

  1. clarifier les rôles, 
  2. optimiser les actions, 
  3. et surtout, améliorer la communication au sein de votre équipe.

Dans cet article, vous allez découvrir comment utiliser différents types de diagrammes pour modéliser vos processus, de l’organigramme au BPMN. 

Nous vous expliquerons comment choisir le bon logiciel et comment intégrer des éléments visuels, comme des connecteurs et des icônes, pour une représentation graphique plus précise. 

Ainsi, à chaque étape, vous apprendrez à créer des schémas qui reflètent la réalité de votre entreprise, des goulots d’étranglement aux opportunités d’amélioration continue.

À la fin de cet article, vous saurez comment structurer vos processus de manière à maximiser la productivité, tout en facilitant la prise de décision. 

Prêt à faire passer vos schémas de processus au niveau supérieur ? 

Plongeons ensemble dans le guide !

1) Étape 1 : les bases du schéma de processus.

a) Définition et types de diagrammes de processus.

Qu’est-ce qu’un schéma de processus ?

Un schéma de processus est une représentation visuelle qui décrit les étapes d’un processus d’entreprise ou d’un workflow

Il aide à visualiser :  

  • les activités, 
  • les flux de travail, 
  • les décisions 
  • et les interactions au sein d’un système. 

En effet, en illustrant les liens entre les différentes tâches, ces organigrammes rendent plus accessible la compréhension des opérations complexes. 

b) Comment choisir le bon type de diagramme et leurs applications.

Les diagrammes de processus ne se ressemblent pas tous, car chacun a son utilité et s’adapte à des besoins spécifiques. 

Voici les principaux types :

1) Les diagrammes de flux de processus.

Conçus pour décrire les étapes successives d’un processus, ces diagrammes illustrent les flux d’informations ou de produits entre les étapes à travers des flèches et des symboles. 

Ils conviennent particulièrement aux processus linéaires, où chaque étape repose sur celle qui la précède.

2) Les logigrammes.

Ils facilitent la visualisation de décisions complexes en utilisant des formes géométriques standardisées, comme des rectangles pour les actions et des losanges pour les décisions. 

Ce type de diagramme est utile pour représenter les différentes options et leurs conséquences dans un processus.

3) Le BPMN (Business Process Model and Notation).

Cette notation, plus avancée, est principalement employée par les analystes et les experts en processus métier

Elle permet de représenter avec précision les activités, les événements et les règles associées. 

Elle est particulièrement adaptée aux processus complexes qui requièrent une documentation approfondie.

4) Les diagrammes de Gantt.

Ces outils servent à planifier et à gérer le temps alloué aux différentes tâches d’un projet. 

Ils permettent de visualiser les relations de dépendance entre les étapes et de suivre l’évolution du projet. 

Ils sont particulièrement adaptés pour la gestion de projet et l’organisation des tâches.

5) Les diagrammes UML (Unified Modeling Language).

Ces diagrammes, surtout utilisés dans le développement logiciel, permettent de détailler les interactions entre systèmes, objets et composants. 

Ils s’avèrent indispensables pour les projets techniques qui requièrent une compréhension fine des relations entre les parties prenantes.

6) Tableau comparatif des types de diagrammes de processus.

Type de DiagrammeCaractéristiquesApplicationsAvantages
Diagramme de flux de processusSéquentiel, linéaire, utilise des flèchesVisualiser les étapes d’un processus simpleSimplicité, facile à lire
LogigrammeDécisions complexes, symboles géométriquesCartographie des choix et conséquencesFlexibilité, clarté des décisions
BPMNNotation standardisée, préciseProcessus métier complexesPrécision, standardisation internationale
Diagramme de GanttBarres de temps, dépendancesGestion de projet, ordonnancementSuivi du temps, gestion de projet
UMLModélisation des interactionsDéveloppement logiciel, systèmes complexesDétail, clarté technique

c) Quels sont les symboles utilisés dans un schéma de processus ?

Chaque diagramme de processus repose sur un ensemble de symboles standardisés et chacun d’entre eux a un rôle à jouer dans la compréhension visuelle des étapes et des décisions. 

1) Voici les principaux symboles que l’on retrouve dans la plupart des diagrammes.

SymboleDescriptionUtilisation
OvaleDébut ou fin d’un processusIndique le point de départ et la conclusion d’un flux de processus.
RectangleAction ou étape spécifiqueReprésente une tâche ou une activité à accomplir.
LosangeDécisionMontre un point de décision, avec des flèches indiquant les différentes options ou les chemins possibles.
FlècheDirection du fluxIndique la direction du processus, reliant les étapes entre elles pour montrer la séquence logique.
CerclePoint de connexionUtilisé pour connecter des parties du diagramme, souvent pour les processus longs ou complexes.
Rectangle arrondiDocument ou rapportReprésente un document produit ou requis à une étape du processus.
ParallélogrammeEntrée ou sortie de donnéesIndique les données entrantes ou sortantes dans le processus.
HexagonePréparationSignale une étape de préparation nécessaire avant de commencer une tâche spécifique.

Ces symboles, lorsqu’ils sont utilisés correctement, permettent de : 

  1. visualiser rapidement les étapes importantes d’un processus, 
  2. les décisions critiques 
  3. et la direction générale du flux.

2) Utilisation des couleurs et des styles pour accentuer l’information.

Utiliser des couleurs variées permet de catégoriser les informations, d’attirer l’attention sur des points spécifiques, et de rendre le schéma plus facile à interpréter.

  1. Utilisation des couleurs pour catégoriser : par exemple, les couleurs vives comme le rouge ou l’orange peuvent indiquer des étapes critiques ou des décisions à haut risque, tandis que le vert peut être utilisé pour signaler les tâches complétées ou les points positifs.
  2. Différenciation des styles de lignes : les lignes pointillées ou les flèches en zigzag peuvent représenter des processus interrompus ou des étapes facultatives. Les flèches épaisses et droites, en revanche, indiquent un flux principal ou prioritaire.
  3. Symboles remplis ou vides : un rectangle rempli peut signifier une tâche active en cours, tandis qu’un rectangle vide pourrait représenter une étape future ou une tâche en attente.

2) Étape 2 : préparer la création de votre schéma de processus.

a) l’identification des objectifs et du public cible.

Avant de créer un schéma de processus, vous devez clarifier ses objectifs et définir le public cible.

Pour vous aider à y voir plus clair, répondez d’abord aux deux questions ci-dessous.

  1. Pourquoi concevoir ce schéma ? 
  2. Pour qui est-il vraiment destiné ? 

Ces deux questions semblent simples, mais elles sont la clé d’une représentation graphique solide et judicieuse.

Le but du schéma peut varier, car il peut : 

  1. Servir à documenter un processus complexe. 
  2. À former de nouveaux employés.
  3. À identifier des améliorations potentielles. 
  4. Ou à communiquer un flux de travail à une équipe. 

Voilà pourquoi, vous devez connaître clairement l’objectif du schéma parce qu’il est important pour :  

  1. Déterminer le niveau de détail. 
  2. Le type de diagramme à utiliser. 
  3. Les informations à inclure.

Quant au public cible, il peut s’agir de : 

  1. Managers.
  2. D’employés.
  3. De clients.
  4. Ou de partenaires. 

Le niveau de compréhension et les besoins spécifiques de chaque groupe dicteront la manière dont le schéma doit être conçu. 

Un diagramme destiné aux équipes opérationnelles, par exemple, nécessitera des détails plus précis que celui conçu pour des partenaires externes qui recherchent une vision d’ensemble.

b) Les questions à se poser pour définir le but du schéma.

Voici quelques questions qui aident à préciser l’objectif et le public cible d’un schéma de processus :

  1. Quel est le principal problème ou besoin que ce schéma doit résoudre ?
  2. Qui utilisera ce schéma au quotidien ? 
  3. Quelle est leur connaissance préalable du processus ?
  4. Le schéma doit-il fournir une vue d’ensemble ou détailler chaque étape du processus ?
  5. Souhaitez-vous mettre l’accent sur les décisions clés, les tâches spécifiques, ou les flux de données ?
  6. Quelles sont les informations critiques que le schéma doit absolument représenter ?
  7. Il y a-t-il des contraintes spécifiques (temps, ressources, compétences) à prendre en compte lors de la création du schéma ?
  8. Comment le schéma sera-t-il utilisé ? 
  9. Sera-t-il affiché dans un document, sur une plateforme en ligne, ou dans une présentation ?

Ces questions permettent de définir plus clairement le cadre de votre schéma et d’éviter les erreurs fréquentes, comme l’inclusion de détails superflus ou l’omission d’informations.

c) La collecte des informations nécessaires.

Cette partie permet d’identifier toutes les étapes, les tâches, les décisions et les interactions impliquées dans le processus à cartographier

Sans ces données, le diagramme risque de manquer de clarté ou de ne pas refléter fidèlement la réalité du terrain.

Ainsi, votre collecte d’informations se déroulera en plusieurs étapes. 

  1. Tout d’abord, il vous faut identifier les acteurs clés impliqués dans le processus : qui sont les personnes ou les équipes concernées ? 
  2. Ensuite, vous devez rassembler toutes les données sur les intrants, les extrants et les points de décision.

Liste des techniques pour recueillir les données.

TechniqueDescriptionConseils Pratiques
EntretiensDiscussions avec les acteurs du processus pour obtenir des informations détaillées et des perspectives variées.Préparer un guide d’entretien structuré, poser des questions ouvertes et spécifiques, enregistrer les réponses pour analyse ultérieure.
ObservationObservation directe du processus en action sur le terrain pour voir comment il est réellement exécuté.Noter les écarts entre la théorie et la pratique, identifier les ajustements faits par les employés, documenter les flux de travail réels.
Analyse de documentationExamen des documents existants (manuels, politiques internes, rapports, etc.) pour comprendre le cadre théorique du processus.Compiler tous les documents pertinents, extraire les informations clés sur les étapes, les responsabilités et les ressources.

3) Étape 3 : comment créer un diagramme de processus ?

Comment faire un schéma de processus, votre guide 2024 de Pickaform.
Comment faire un schéma de processus, votre guide 2024.

a) Définir les limites du processus.

La première étape pour créer un diagramme de processus consiste à en définir clairement les limites. 

Cela revient à établir le cadre de votre diagramme : 

  • Quels sont les points de départ et de fin ? 
  • Quels intrants (ressources, informations, matériaux) entrent dans le processus ?
  • Quels extrants (produits finis, services, résultats) en sortent ?

1) Identifier les points de départ et de fin.

Le point de départ correspond à l’événement ou à l’entrée qui déclenche le processus. 

Cela peut être : 

  • Une commande client.
  • Une demande interne.
  • Ou l’arrivée d’une nouvelle information… 

Le point de fin, quant à lui, est le résultat final souhaité, comme :  

  • La livraison d’un produit. 
  • La finalisation d’un rapport.
  • Ou la clôture d’un dossier. 

Ces points sont la base de votre projet, car ils déterminent la portée du diagramme et évitent de représenter des étapes inutiles qui ne font pas réellement partie du processus à modéliser.

2) Déterminer les intrants et extrants principaux.

Une fois les limites définies, vous devez identifier les intrants nécessaires au démarrage et au déroulement du processus. 

Les intrants peuvent être : 

  • Des données.
  • Des ressources humaines.
  • Du matériel.
  • Ou des informations critiques… 

De même, les extrants doivent être clarifiés : 

  • Quels sont les produits finis ? 
  • Quels sont les résultats attendus de ce processus ? 

Cette étape permet de s’assurer que le diagramme couvrira toutes les informations et ressources nécessaires pour que le processus fonctionne correctement.

b) Le séquencement des activités et des tâches.

Une fois les limites du processus définies, il est temps de structurer les activités et les tâches de manière logique et fluide. 

Le séquencement des activités est l’étape où vous allez déterminer l’ordre dans lequel les tâches doivent être exécutées. 

Toutefois, garder à l’esprit que le flux de travail doit toujours être clair et cohérent.

Comment organiser les tâches de manière logique et fluide.

Pour bien organiser les tâches, suivez ces principes :

  1. Identifier les tâches principales : commencez par répertorier toutes les étapes requises pour exécuter le processus, depuis l’entrée initiale jusqu’au résultat final. Veillez à inclure chaque détail, y compris les petites tâches intermédiaires.
  1. Déterminer les dépendances : identifiez les tâches qui nécessitent l’accomplissement d’autres activités pour pouvoir débuter. Ainsi, une étape d’approbation doit nécessairement venir après la création d’un document. Veillez à ce que chaque tâche soit positionnée de manière cohérente dans le flux.
  1. Prioriser les activités critiques : certaines étapes du processus revêtent une importance particulière par rapport à d’autres. Ainsi, une validation avant une phase de production est déterminante. Donnez la priorité à ces activités pour réduire les erreurs et optimiser le déroulement du processus.
  1. Éviter les goulots d’étranglement : identifiez les étapes du processus qui pourraient ralentir le flux de travail (comme des approbations ou des vérifications). Réfléchissez à des moyens de simplifier ou d’accélérer ces étapes pour éviter les blocages.
  1. Maintenir un flux continu : les tâches doivent être connectées par des transitions claires (utilisation de flèches) pour montrer comment l’information ou les produits passent d’une étape à l’autre sans interruption. Assurez-vous que chaque étape mène naturellement à la suivante, sans confusion.

c) Validation et optimisation du schéma.

Une fois le diagramme de processus créé, vous devez le valider et le l’optimiser. 

En effet, cette étape garantit que le schéma reflète fidèlement la réalité du processus et identifie les opportunités d’amélioration. 

Maintenant, passons en revue : 

  1. Les méthodes pour faire valider le schéma par les parties prenantes. 
  2. L’identification des problèmes potentiels. 
  3. L’application des techniques d’optimisation.

1) La validation par les parties prenantes.

La validation du schéma permet de s’assurer que le diagramme est à la fois précis et utile. 

Les parties peuvent inclure les équipes opérationnelles, les gestionnaires, les clients internes, ou tout autre groupe concerné par le processus. 

Voici comment procéder :

  1. Présenter le schéma aux parties prenantes : organisez une réunion ou un atelier pour présenter le schéma de processus. Fournissez un support visuel clair, tel qu’un projecteur ou un écran partagé, afin que chaque partie prenante puisse examiner le diagramme en détail.
  1. Demander des commentaires et des retours : encouragez les parties prenantes à donner leur feedback. Posez des questions directes pour clarifier les points d’incertitude ou pour savoir si des étapes importantes manquent. Utilisez des outils collaboratifs comme des tableaux blancs numériques ou des documents partagés pour recueillir les retours en temps réel.
  1. Réviser le schéma : sur la base des commentaires reçus, ajustez le schéma. Assurez-vous que toutes les modifications sont approuvées par les parties concernées pour garantir un consensus.

2) Comment identifier et résoudre les problèmes dans le processus.

Pour améliorer le schéma, vous devez repérer les éventuels problèmes qui pourraient affecter le flux de travail. 

Voici quelques méthodes pour y parvenir :

  • Analyse des goulots d’étranglement : examinez le diagramme pour identifier les étapes où le flux de travail ralentit ou s’arrête. Ces points de blocage peuvent être dus à des approbations tardives, des tâches redondantes ou des ressources insuffisantes.
  • Revue des décisions critiques : vérifiez les points de décision dans le diagramme (symbolisés par des losanges). Assurez-vous que toutes les options possibles et leurs conséquences sont correctement représentées. Vérifiez également que les décisions ne créent pas de confusion ou de retards inutiles.
  • Observation des écarts de performance : comparez le schéma avec les données de performance réelles. Si certaines étapes prennent plus de temps que prévu ou ont besoin plus de ressources, ajustez le schéma pour mieux refléter la réalité.

3) Techniques d’optimisation du schéma.

Après avoir identifié les problèmes, voici des techniques pour optimiser votre schéma de processus :

  1. Simplification : réduisez le nombre d’étapes au strict minimum nécessaire. Supprimez les tâches redondantes et combinez celles qui peuvent être exécutées en parallèle.
  1. Automatisation : intégrez des outils ou des systèmes automatisés là où c’est possible pour réduire les erreurs humaines, accélérer le flux de travail, et libérer du temps pour les tâches à plus forte valeur ajoutée.
  1. Standardisation : adoptez des normes et des protocoles pour les tâches récurrentes afin de garantir la cohérence et de réduire les variations dans l’exécution du processus.
  1. Optimisation des ressources : réévaluez l’allocation des ressources (humaines, matérielles, financières) pour s’assurer qu’elles sont utilisées de manière optimale et qu’elles ne créent pas de goulots d’étranglement.

4) Étape 4 : exploiter et mettre à jour votre schéma de processus.

a) Comment communiquer efficacement un schéma de processus ?

Une fois que votre schéma de processus est validé et optimisé, il devient un outil précieux pour la formation et la communication en interne. 

En l’utilisant bien, vous pouvez non seulement clarifier les étapes d’un processus, mais aussi renforcer la compréhension et l’adhésion des équipes. 

Voici maintenant comment tirer le meilleur parti de votre schéma pour ces objectifs.

1) Utilisation du schéma pour la formation et la communication en interne.

Le schéma de processus peut servir de : 

  1. Support pédagogique lors de séance de formation.
  2. D’intégration des nouveaux employés.
  3. Ou de réunions d’équipe. 

Il permet de visualiser rapidement les étapes clés, de montrer comment les tâches sont interconnectées et d’illustrer le flux de travail. 

En conséquence, les employés peuvent assimiler plus facilement les informations complexes et comprendre leur rôle au sein du processus.

Voici comment utiliser le schéma de manière optimale :

  • Intégrer le schéma dans les supports de formation : ajoutez-le aux présentations PowerPoint, aux manuels d’utilisateur ou aux documents de formation. Utilisez-le pour expliquer chaque étape du processus lors des stages de formation.
  • Animer des ateliers interactifs : encouragez les employés à analyser le schéma en groupe, à poser des questions et à proposer des suggestions d’amélioration. Cela stimule l’engagement et permet de s’assurer que chacun comprend bien le processus.
  • Utiliser le schéma comme outil de référence : affichez-le dans des espaces communs ou sur des plateformes numériques internes pour que les employés puissent s’y référer aisément en cas de doute ou de besoin.

2) Conseils pour rendre le schéma simplement compréhensible par tous.

Pour que le schéma soit un outil de communication solide, il doit être clair et accessible à tous, indépendamment du niveau de compétence ou du rôle des employés. 

Voici quelques conseils pour améliorer sa lisibilité :

  1. Simplifier le contenu : utilisez des termes simples et évitez le jargon technique. Chaque étape du processus doit être expliquée de manière concise pour que tout le monde puisse la comprendre rapidement.
  1. Utiliser des couleurs et des symboles cohérents : employez des couleurs et des styles de symboles uniformes tout au long du schéma. Les couleurs peuvent aider à catégoriser les étapes, et les symboles doivent être standardisés pour éviter toute confusion.
  1. Ajouter des légendes et des annotations : incluez des légendes pour expliquer les symboles ou les termes spécifiques. Des annotations peuvent également clarifier certaines étapes ou fournir des détails supplémentaires, surtout pour les tâches complexes.
  1. Optimiser la taille et la présentation : assurez-vous que le schéma est lisible, que ce soit imprimé ou affiché sur un écran. Utilisez une taille de police appropriée et évitez de surcharger le diagramme avec trop d’informations.
  1. Tester le schéma avec un échantillon d’utilisateurs : avant de le déployer à grande échelle, faites-le tester par un groupe représentatif d’utilisateurs pour vérifier sa clarté. Prenez en compte leurs retours pour apporter des ajustements si nécessaire.

b) Comment optimiser un processus existant ?

Une fois votre schéma de processus en place et utilisé pour la formation et la communication, vous ne devez pas le considérer comme un document figé. 

La mise à jour régulière du schéma permet de garantir qu’il reflète toujours la réalité de votre entreprise et pour soutenir une amélioration continue.

1) Pourquoi et comment mettre à jour régulièrement votre schéma.

Pourquoi mettre à jour votre schéma ?

Les processus d’une entreprise évoluent constamment en réponse aux changements internes et externes : 

  • Nouveaux outils.
  • Réorganisations. 
  • Feedback des employés.
  • Évolutions du marché. 
  • Ou encore nouvelles normes réglementaires. 

De ce fait, un schéma de processus qui n’est pas constamment mis à jour peut rapidement devenir obsolète, induire en erreur les équipes et compromettre l’efficacité des opérations.

Ainsi, mettre à jour le schéma permet de :

  • Assurer la pertinence et la précision : un schéma à jour reflète les pratiques actuelles et les adaptations récentes, ce qui aide à éviter les erreurs et les malentendus.
  • Améliorer l’engagement des employés : les employés se sentent plus impliqués lorsque les outils de travail, comme les schémas de processus, sont alignés sur leur réalité quotidienne.
  • Faciliter l’adaptation aux changements : en maintenant le schéma à jour, vous préparez vos équipes à gérer simplement les changements à venir.

2) Comment mettre à jour votre schéma ?

  1. Programmer des revues régulières : planifiez des revues périodiques (mensuelles, trimestrielles ou semestrielles) pour vérifier la pertinence de votre schéma. Impliquez les parties prenantes et les équipes concernées pour recueillir leurs retours.
  1. Mettre en place un système de feedback : encouragez les employés à signaler tout écart entre le schéma et la réalité. Utilisez des outils collaboratifs, comme des formulaires en ligne ou des plateformes de discussion, pour faciliter la collecte de commentaires en continu.
  1. Attribuer des responsabilités claires : désignez une personne ou une équipe responsable de la mise à jour des schémas. Cette personne doit être en contact avec les responsables de processus et avoir une bonne compréhension des objectifs de l’entreprise.
  1. Documenter les changements : lors de chaque mise à jour, documentez clairement les modifications apportées et les raisons de ces ajustements. Cela facilite le suivi des évolutions et renforce la transparence.

2) Introduction à l’amélioration continue et à la méthode Kaizen.

L’amélioration continue consiste à optimiser progressivement les processus de l’entreprise pour atteindre des niveaux de performance plus élevés. 

La méthode Kaizen, qui signifie « changement pour le mieux » en japonais, est l’une des approches les plus connues pour instaurer une culture d’amélioration continue.

Aussi, la méthode repose sur plusieurs principes clés :

  • Petits changements fréquents : plutôt que de chercher des transformations radicales, Kaizen préconise de réaliser de petites améliorations régulières. Ces ajustements progressifs conduisent à des gains substantiels sur le long terme.
  • Implication de tous les niveaux : tout le monde, des dirigeants aux employés de première ligne, est encouragé à contribuer avec des idées pour améliorer les processus.
  • Analyse et résolution des problèmes : en repérant les points de blocage, les dysfonctionnements et les erreurs dans les processus, Kaizen encourage une approche proactive pour résoudre les problèmes avant qu’ils ne deviennent préoccupants.

5) Quels outils utiliser pour créer un schéma de processus ?

Les 8 raisons d’utiliser Pickaform dans votre projet.

1) Une plateforme no-code puissante et flexible.

Créer un schéma de processus efficace peut rapidement devenir complexe si vous n’avez pas les bons outils. 

Avec Pickaform, vous bénéficiez d’une plateforme no-code qui vous permet de créer vos workflows en quelques minutes, sans aucune connaissance technique. 

Imaginez pouvoir modéliser, modifier et optimiser vos processus métier sans écrire une seule ligne de code, et sans même avoir à dessiner le diagramme, car il va se générer tout seul !

La flexibilité offerte par Pickaform vous garantit un outil sur mesure, parfaitement adapté à vos besoins.

2) Créez des workflows sur mesure pour une optimisation maximale.

Chaque entreprise est unique, et vos processus le sont tout autant. 

Pickaform vous permet de personnaliser vos workflows en définissant les étapes, les acteurs et les décisions possibles en quelques clics. 

Grâce à une interface intuitive et un éditeur de formulaire intégré, vous pouvez facilement adapter vos schémas de processus à l’évolution de votre activité.

3) Collaborez efficacement avec vos équipes grâce à des fonctionnalités innovantes.

La collaboration est essentielle dans la gestion des processus

Avec Pickaform, vous bénéficiez d’une plateforme qui facilite la collaboration instantanée

Utilisez des vues personnalisées pour organiser le travail de votre équipe, configurez les colonnes, filtrez les données, triez et regroupez les informations selon vos préférences. 

Grâce à l’accès en temps réel et à des options de visualisation flexibles (barre de navigation, onglets), chaque utilisateur peut accéder uniquement aux informations qui le concernent, ce qui permet une gestion fluide et structurée des processus.

4) Exploitez des formulaires flexibles pour une collecte d’informations précise.

Un bon schéma de processus repose sur des données précises et bien structurées. 

Pour cela, Pickaform vous offre 21 types de champs pour vos formulaires, adaptés à toutes vos exigences : 

  • texte, 
  • nombre, 
  • date, 
  • heure, 
  • paragraphe, 
  • et même des champs générés automatiquement par l’intelligence artificielle. 

Vous pouvez également utiliser des listes déroulantes, des cases à cocher, des barres de progression, des pièces jointes et bien plus encore pour capturer toutes les informations nécessaires et les intégrer facilement à vos workflows personnalisés.

5) Amélioration continue grâce à une plateforme évolutive et adaptable.

L’un des piliers de l’amélioration continue est la capacité à ajuster et à améliorer vos processus en fonction des retours d’expérience. 

Pickaform facilite une mise à jour et une personnalisation constantes de vos schémas de processus, ce qui garantit qu’ils demeurent en permanence alignés sur les objectifs de votre entreprise.

De plus, grâce à des vues et des filtres configurables, vous pouvez facilement identifier les points de blocage et optimiser vos processus.

6) Des outils de communication et de formation intégrés pour un déploiement facile.

Pickaform n’est pas seulement une plateforme de création de schémas de processus, c’est aussi un outil puissant pour la communication et la formation

Utilisez vos workflows et vos schémas pour former vos équipes et simplifier la communication interne. 

Grâce à des fonctionnalités d’annotation et de personnalisation, vous pouvez adapter vos schémas pour qu’ils soient compréhensibles par tous, quel que soit leur niveau de connaissance du processus.

7) Réduction des coûts et retour sur investissement rapide.

Contrairement aux autres solutions du marché qui peuvent coûter cher, Pickaform propose des tarifs dégressifs et compétitifs, à partir de seulement 11 € par utilisateur par mois, avec des fonctionnalités illimitées et une période d’essai gratuite de 14 jours. 

De grandes entreprises l’utilisent déjà au quotidien et bénéficient d’un ROI maximal, car 95 % des utilisateurs qui adoptent la plateforme l’utilisent pendant plusieurs années.

8) Essayez Pickaform et découvrez ses supers pouvoirs.

Ne vous contentez pas de lire, découvrez par vous-même comment Pickaform peut transformer la gestion de vos processus. 

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6) Comment intégrer l’intelligence artificielle (IA) pour optimiser la création et la mise à jour des schémas de processus ?

L’intelligence artificielle révolutionne la façon dont les entreprises modélisent et gèrent leurs processus métiers

Elle permet d’aller au-delà de la simple création de schémas pour proposer une optimisation dynamique et continue. 

Mais comment utiliser l’IA pour rendre vos schémas de processus plus pertinents et efficaces ? 

Voici quelques pistes.

a) Utilisation de l’IA pour analyser les processus existants.

L’IA excelle dans l’analyse de grandes quantités de données. 

Elle peut examiner les processus actuels de votre entreprise et identifier automatiquement les étapes qui ralentissent le flux de travail. 

Par exemple, l’IA peut repérer des étapes redondantes qui n’apportent pas de valeur ajoutée, ou encore identifier des goulots d’étranglement là où une tâche prend plus de temps que prévu.

L’IA peut aussi mettre en lumière des opportunités d’amélioration en analysant les données historiques de performance. 

En intégrant des algorithmes de machine learning, il devient possible de prévoir les points de friction avant même qu’ils ne surviennent, et d’adapter les processus en conséquence.

b) Des résultats concrets avec Pickaform et ses champs IA.

Pickaform, avec ses champs IA intégrés, illustre parfaitement comment l’intelligence artificielle peut enrichir la création de schémas de processus. 

Avec Pickaform, vous pouvez :

  • Générer automatiquement du contenu pour vos processus en utilisant des champs de texte IA.
  • Analyser rapidement les données collectées via des formulaires flexibles et obtenir des recommandations instantanées.
  • Automatiser la mise à jour des processus en fonction des données en temps réel, pour un suivi toujours à jour et optimisé.

7) Comment mesurer l’efficacité et l’impact d’un schéma de processus sur la performance de l’entreprise ?

Un schéma de processus bien conçu est fondamental, mais comment savoir s’il atteint vraiment ses objectifs ? 

Pour le découvrir, il faut mesurer son impact sur la performance de l’entreprise. 

Plusieurs indicateurs clés de performance (KPI) peuvent être utilisés pour évaluer cet impact. 

De plus, des outils et des méthodes de suivi permettent de mesurer en continu l’effet des modifications apportées aux processus. 

Voici comment procéder.

a) Les indicateurs clés de performance (KPI) à suivre.

Pour mesurer les performances d’un schéma de processus, plusieurs KPI peuvent être suivis :

  1. Le temps d’exécution : le temps nécessaire pour réaliser une tâche ou un ensemble de tâches dans le processus. En analysant ce KPI, vous pouvez identifier les étapes qui prennent plus de temps que prévu et ajuster le processus pour les optimiser.
  1. Le taux d’erreur : le pourcentage d’erreurs ou d’incidents dans l’exécution du processus. Un taux d’erreur élevé peut indiquer des étapes mal définies ou des flux de travail peu clairs. Réduire ce taux, vous permet d’améliorer la qualité des résultats et la fiabilité du processus.
  1. La satisfaction des employés : mesurer le niveau de satisfaction des employés qui utilisent le schéma de processus. Un processus bien conçu facilite le travail quotidien et augmente l’engagement des équipes. Vous pouvez utiliser des enquêtes ou des retours réguliers pour suivre cet indicateur.
  1. Le taux de rétention des clients : l’impact du processus sur la fidélisation des clients. Un processus fluide et efficace améliore l’expérience client, ce qui peut se traduire par un meilleur taux de rétention.
  1. Les coûts associés au processus : suivi des coûts liés à l’exécution du processus, tels que les ressources utilisées, le temps passé et les éventuels frais de correction d’erreurs. Une diminution des coûts est un signe positif d’un processus optimisé.

b) Des outils et des méthodes de suivi des processus.

Pour mesurer en continu l’impact des modifications de processus, voici quelques outils et méthodes :

  1. Tableaux de bord de gestion des processus : utilisez des tableaux de bord interactifs pour visualiser en temps réel les KPI et suivre les performances de votre processus. 
  1. Outils de gestion des workflows : des plateformes comme Pickaform offrent des fonctionnalités de suivi de processus qui permettent d’enregistrer et d’analyser toutes les modifications. Vous pouvez ainsi mesurer l’impact des ajustements sur les performances du processus, directement depuis votre interface de gestion.
  1. Méthodes d’analyse de données : recueillez et analysez les données à l’aide d’outils de Business Intelligence (BI) pour identifier les tendances et les anomalies dans l’exécution des processus. Cette méthode permet de comprendre comment les différentes étapes du processus influencent les résultats.
  1. Feedback en temps réel : implémentez un système de retour d’information en temps réel pour recueillir les opinions des employés sur l’efficacité du processus. Utilisez des enquêtes rapides ou des systèmes de notation pour obtenir des données qualitatives qui complètent vos KPI.

8) Concevoir des schémas de processus adaptés aux environnements de travail hybrides et au télétravail.

L’évolution vers des environnements de travail hybrides et le télétravail pose de nouveaux défis pour la cartographie des processus

Comment s’assurer que chaque membre de l’équipe, qu’il soit au bureau ou à distance, suive le même flux de travail et contribue de manière efficace ? 

Voici comment concevoir des schémas de processus qui s’adaptent à ces nouvelles réalités.

a) Comment cartographier des processus incluant des collaborateurs distants ou des équipes distribuées.

Pour intégrer les collaborateurs distants dans vos processus, il est important de cartographier les flux de travail en tenant compte de la dispersion géographique et des contraintes de communication. 

Voici quelques principes pour y parvenir :

  1. Clarifier les rôles et responsabilités : identifiez clairement qui est responsable de chaque tâche ou étape du processus, en spécifiant les collaborateurs sur site et ceux à distance. Utilisez des symboles ou des couleurs distinctes dans vos schémas pour représenter ces différentes équipes.
  1. Définir les points de synchronisation : dans les environnements de travail hybrides, vous devez prévoir des moments de synchronisation, comme des réunions virtuelles ou des points de contact réguliers. Incluez ces éléments dans votre schéma pour indiquer quand et comment les équipes doivent se coordonner.
  1. Cartographier les flux de communication : assurez-vous que le schéma inclut tous les canaux de communication nécessaires (emails, plateformes de messagerie instantanée, appels vidéo) et les étapes où ces échanges doivent se produire. Cela aide à éviter les pertes d’information et à maintenir une cohérence dans le processus.

b) Utilisation des outils collaboratifs pour créer et gérer des schémas de processus en temps réel dans un contexte de télétravail.

Les outils collaboratifs sont des atouts majeurs pour gérer des processus avec des équipes hybrides. 

Voici comment les utiliser pour créer et maintenir vos schémas de processus :

  1. Plateformes de collaboration en ligne : des outils comme Pickaform permettent de créer des schémas de processus accessibles en temps réel à tous les membres de l’équipe, quel que soit leur emplacement. Ces plateformes offrent des fonctions de coédition, de commentaires et de suivi des modifications, ce qui rend la mise à jour des processus simple et transparente.
  1. Utilisation des intégrations et des automatisations : intégrez vos schémas de processus aux autres outils de collaboration que votre équipe utilise déjà (comme Slack, Microsoft Teams, ou Asana). Cela facilite le suivi des tâches, l’automatisation des notifications et des rappels, et assure que tous les collaborateurs sont informés des changements dans le processus.
  1. Partage et visualisation en temps réel : utilisez des outils qui permettent de partager les schémas en temps réel et de visualiser les contributions de chaque membre. Ces fonctionnalités favorisent une plus grande transparence et une meilleure compréhension du processus par l’ensemble de l’équipe, même à distance.

c) Cas pratiques de processus spécifiques à des environnements de travail hybrides.

Voici quelques exemples de processus qui nécessitent une approche adaptée aux environnements hybrides :

  1. Processus de recrutement : le recrutement à distance impose de nouvelles étapes, comme les entretiens en ligne, les tests à distance, et la vérification virtuelle des références. Un schéma de processus pour le recrutement hybride doit inclure ces éléments, ainsi que des points de coordination entre les recruteurs à distance et sur site.
  1. Onboarding des nouveaux employés : dans un contexte hybride, l’intégration des nouveaux collaborateurs doit prévoir des étapes de formation en ligne, des sessions d’accueil virtuelles, et des contacts réguliers avec les équipes distantes et sur site. Le schéma de processus d’onboarding doit intégrer ces éléments pour garantir une expérience homogène, quel que soit l’emplacement du nouvel employé.
  1. Gestion de projet à distance : les projets menés par des équipes distribuées nécessitent une coordination rigoureuse. Un schéma de processus adapté doit inclure des jalons de projet virtuels, des outils de gestion de tâches partagés, et des points de revue réguliers par visioconférence pour suivre l’avancement et ajuster les objectifs en temps réel.

9) Conclusion.

Dans cet article, nous avons exploré en profondeur les étapes pour créer un schéma de processus efficace. 

Nous avons commencé par définir ce qu’est un schéma de processus et les différents types disponibles, comme les diagrammes de flux, les logigrammes, et le BPMN, chacun ayant ses propres applications et ses avantages. 

Nous avons également discuté de l’importance d’utiliser des indicateurs de performance pour mesurer l’impact de ces schémas sur la performance de l’entreprise, ainsi que des outils et des méthodes permettant de les suivre en continu. 

Enfin, nous avons abordé des aspects tels que l’intégration de l’intelligence artificielle pour optimiser les processus et l’adaptation des schémas aux environnements de travail hybrides et au télétravail.

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