Vous l’avez probablement remarqué : le « low-code » est la tendance du moment!

Rien qu’en décembre 2017, il y a eu plus de 300 articles sur le sujet, écrits par des médias ou des blogs spécialisés. Et ça n’est que le commencement…

Néanmoins, nous pensons qu’il est important d’expliquer qu’il y a différents types d’outils derrière cette appellation « low-code » :

– Les outils Low-code où il faut quand même coder, mais moins

Comme Google App Maker, Microsoft PowerApps, OutSystems, Appian, Mendix, Zoho Creator… et il y a pas mal d’excellents compétiteurs qui se battent sur ce marché.

Ces plateformes sont très puissantes et n’ont pas vraiment de limitations sur ce que l’on peut faire avec. En réalité, ce sont des outils RAD modernes (Rapid Application Development) sur le cloud, et ils visent les développeurs.

– Les outils Low-code où il n’est pas nécessaire de coder

Intuit Quickbase est un bon exemple, pour mentionner un grand nom du secteur. Ou PickaForm, bien sûr! Dans ce cas, vous pouvez construire une application sans écrire une seule ligne de code. Ce ne sont pas vraiment des RAD car ce ne sont tout simplement pas des outils de développement : ils ne visent pas les développeurs, mais les utilisateurs métier.

Et même si l’on peut quand même ajouter un peu de javascript et de formules ici et là, nous appelons ces outils « no-code », à la place de « low-code ». En fait, il s’agit en réalité de quelque chose entre les deux que l’on devrait appeler « very-low-code », mais c’est trop ennuyeux à prononcer…

Quel est le futur du no-code ?

Prometteur ! En fait, nous parions que le futur sera majoritairement no-code, car le « no-code » est toujours plus rapide que le « low-code »…

En ce qui concerne PickaForm, nous avons même l’ambition d’introduire de l’IA pour que vous puissiez construire vos applications sur mesure à partir d’une description en langage naturel. Ce n’est pas de la fiction : toutes les pièces du puzzle logiciel sont déjà là, et il suffit de les rassembler ! C’est déjà dans notre roadmap, et tout ce qu’il nous faut est un peu plus de ressources pour avancer plus vite.

Donc, oui, chez PickaForm, nous croyons fermement au « no-code ».